Elkrime, L'esprit de la Vengeance
Comme dans beaucoups d'histoires heureuses celle-ci commence par un jour d'été baigné de soleil, dans les environs des plaines de Cania se trouvait la famille Krime. Le père, un homme robuste qui avait embrassé le métier de Bucheron était souvent obligé de quitté la cabane familliale pour y couper différents bois.
Mais un jour qu'il était à plusieurs lieues de sa tendre femme une troupe de soldats descendit de Bonta pour une expédition vers Brakmar, la malheureuse femme avait pour habitude de chanter lorsqu'elle était seule, alerté par le bruit les soldats s'approchèrent de la maison et virent la délicieuse femme occupée à étendre son linge.
Dès lors ils devinrent comme fous, le plus fort des soldats qui était aussi leur capitaine s'avanca vers elle, la jeune femme ne connaissait pas le mal et les désirs pervers des hommes elle s'approcha donc de lui et lui proposa des boissons pour se rafraichir.
Sans prévenir le Capitaine l'attrapa par son maigre bras et la retourna contre la cabane, il la salit ensuite de sa semence et la laissa à demi-morte sur le seuil de sa porte.
Quand Monsieur Krime revint de sont travail, il trouvat sa tendre et bien aimée nue effondrée sur le palier de sa maison, il la ranima et la porta sur la table de leur domicile.
Son talent était grand et il réussit à soigner sa femme qui lui avoua parmis ses larmes qui lui avait fait de telles souffrances.
Il devint alors comme fou et poussa un cris tel que tous les animaux des plaines qui étaient ses amis arrivèrent, ils virent l'état de sa femme et Kan-Ig le chef des Kanigrous des Plaines de Cania prit Monsieur Krime sur sont dos et ils coururent tous ensemble à travers les Landes de Sidimote à la recherche des Miliciens corrompus par les désirs du vice.
Quand Monsieur Krime les aperçut il sauta à terre sa grande hache sur son dos et s'avança seul vers les Miliciens, il demanda à voir leur Capitaine qui s'avança sans crainte croyant avoir à faire à un simple paysan comme on en voit tant sur les terres d'Amakna. Il fut très grossier et ordonna à Monsieur Krime se qu'il lui voulait , celui-ci lui expliqua droit dans les yeux se qu'il pensait de son comportement il le mit ensuite en garde et leva son énorme hache au dessus de la tête de se scélérat, pris de peur le Capitaine ordonna à ces soldats d'arrété le forcené, mais là arriva Kan-Ig et ses troupes déchiquetèrent les Miliciens, ils les repoussérent jusqu'au pied d'une montagne sans échappatoire, ils étaient condamnés.
Mais Monsieur Krime malgré sa colère était un homme bon et juste il permit aux autres soldats d'abandonner leur Capitaine, ce qu'ils firent sans peine car personne ne l'aimait. Ainsi Monsieur Krime se retrouvait seul en face de l'homme qui avait détruit la vie de sa chère épouse, il lui ordonna de se lever et de se battre pour sa vie, mais le Capitaine était un homme fourbe il avait dans sa botte un couteau tranchant, il prétexta un mal à la cheville se qui lui permit de prendre son couteau et de le lancé sur Krime qui l'ateignit en plein coeur, mais il était fait de telle sorte que sa blessure bien que mortelle ne le tua pas sur le coup, il put en effet abattre d'un coup le Capitaine avant de s'effondrer à côté de son corps. Alors Kan-Ig qui aimait Krime le prit sur son dos pour l'apporter à sa femme, tandis qu'il donna le corps du commandant à ses troupes qui le dévorèrent rapidement sans même laisser les os.
Quand Kan-Ig amena le corps du défunt mari à sa femme elle devint comme folle, elle demanda un dernier service à Kan-Ig, qui était de le porter jusqu'aux portes de Brakmar. Au début il refusa mais devant l'air si désespéré de la femme il accepta pour la protégé des Soldats de Bonta qui avaient sûrement eu vent de ce qui c'était passé.
Ainsi donc fut amené la femme de Monsieur Krime qui s'apelait désormait Il-Krime la veuve-noir.
Il-Krime vivait donc dans une des sombres maisons de Brakmar et plus le temps passait plus son coeur au contact des noires pierres de Brakmar devenait obscur. Un jour elle fut pris d'un grand malaise et comprit qu'elle portait un enfant, cet enfant n'étais pas le fruit de Monsieur Krime ni même du Capitaine, non cet enfant était le fils d'un dieux, de Xelor pour être plus précis il avait été envoyé pour punir et abattre de sa main le marteau de Xelor sur la tête des Bontariens.
Il vint au monde dans la plus sombre citée de tout les temps, et fut longtemps le seul enfant à parcourir les rues sombres de Brakmar.
Mais comme tout les enfants il grandissait, et sa mère s'en désolait car même si il était issu de sa colère et de son désir de vengeance elle l'aimait sincérement et elle lui donna le nom de Elkrime qui signifie fils du Krime.
Mais plus Elkrime grandissait plus Il-Krime faiblissait car sa colère consumait son coeur et son esprit. N'en pouvant plus de souffrir elle mit fin à ces jours, Elkrime ne pleura jamais sa mère et partit seul à la découverte du monde qu'il n'avais vu qu'à partir de livres ou entre les vitres de sa maison.
La seule arme qu'il prît était Garlog, le marteaux envoyés par Xelor pour l'aidé dans sa lutte contre les Emplumés, Garlog fut ensuite surnommé le fleau des anges et le sang qui est dessus ne peut s'éffacer, ainsi donc Elkrime partit à l'aventure cherchant à se faire enrôler dans une guilde qui comme lui partagerait l'envie de faire le mal.........